Journalisme et prises d'otage (ter)
Dans le second volet de cette série, je faisais référence à un article du Canard et à l"inexistante rançon".
On poursuit aujourd'hui avec le palmipède et les coûts "annexes" de l'opération de libération.
Je cite:
..." et de détailler les considérables moyens techniques et humains mis en oeuvre : le "bougainville", navire espion de la DGSE, a fait des ronds dans l'eau, pendant plus de 4 mois, au large du Liban et de la Syrie pour capter toutes les conversations possibles depuis l'irak. Sans compter l'utilisation du stellite Hélios, survolant le pays pour en saisir des images précieuses. Si l'on ajoute les déplacements toujours dangereux des diplomates et des hommes de la DGSE, la libération des otages ne se mesure pas à la seule rançon versée aux ravisseurs"